Développement durable : l’habitat

On retrouve en Ile-de-France les mêmes enjeux écologiques qu’à l’échelle de notre planète :

  • une concentration urbaine qui génère des pics de consommation énergétique et d’eau et attise les tensions, 
  • des installations complexes pour l’approvisionnement en eau potable et des usines de traitement de plus en plus coûteuses.


En France, on a misé sur l’énergie nucléaire pour satisfaire nos besoins en électricité et prendre le relais des énergies fossiles. Cette solution permet de limiter les émissions de gaz à effet de serre mais pose également le problème du traitement des déchets radioactifs.
Dans les périodes où nos besoins en électricité sont les plus importants, le nucléaire ne peut pas tous les satisfaire. Ce sont alors d’autres énergies qui prennent le relais, notamment des centrales hydroélectriques ou hydrauliques (utilisant l’énergie de l’eau) et aussi des centrales thermiques à flamme (qui utilisent des énergies fossiles), comme celle de Porcheville.


Concrètement, au sein de notre habitat, pour limiter notre impact individuel au quotidien, on peut agir sur les bâtiments :

  • en limitant notre consommation d’eau, en particulier l’eau chaude sanitaire,


  • en limitant notre consommation de chauffage,


  • en limitant notre consommation d’électricité.


Les sources d’énergies renouvelables ne s’épuisent pas ou se reconstituent rapidement, à l’inverse des énergies fossiles (gaz, charbon, pétrole) qui mettent plusieurs millions d’années à reformer leurs stocks.
En Ile-de-France, l’usage des énergies renouvelables reste modeste par rapport à celui des énergies fossiles.





La géothermie, énergie renouvelable du futur en Ile-de-France ?