Le faux-gui, un parasite de certains conifères d’Amérique du Nord, s’occupe lui-même de la propagation de ses semences (graines).
Pendant sa croissance, le fruit emmagasine de l’eau dans une sorte de gélatine sécrétée par des cellules en forme de ressort.
Au bout d’un an, la pression est tellement forte que le fruit explose. La graine est alors éjectée à la vitesse de 100 km/h jusqu’à une distance de 20 mètres.